Le mépris est cette façon d’imaginer qui touche l’âme à un si faible degré qu’elle est moins portée par la présence de l’objet qu’elle se représente à considérer ce qu’il n’a pas que ce qu’il a. (Voyez le Scol. de la Propos. 52).

J’omets ici les définitions de la vénération et du dédain, parce qu’aucune passion, que je sache, n’emprunte son nom à celles-là.