La joie, considérée directement, n’est pas mauvaise, mais bonne ; la tristesse, au contraire, considérée directement, est mauvaise.

Démonstration

La joie (par la Propos. 11, part. 3, et son Scol.) est une passion qui augmente ou favorise la puissance d’action du corps ; la tristesse, au contraire, est une passion qui la diminue ou l’empêche. Donc (par la Propos. 38) la joie est bonne, etc. C. Q. F. D.