Plus l’âme est propre à connaître les choses d’une connaissance du troisième genre, plus elle désire les connaître de cette même façon.
La chose est évidente ; car en tant que nous concevons l’âme comme propre à connaître les choses d’une connaissance du troisième genre, nous la concevons en même temps comme y étant déterminée, et par conséquent (Par la Déf. 1 des passions), plus l’âme est propre à ce genre de connaissance, plus elle le désire. C. Q. F. D.
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Dernière mise à jour : mardi 31 janvier 2023