EII - Proposition 16 - corollaire 2 ; EII - Proposition 17 - scolie.
Ethique III - Définition générale des affects.
EV - Proposition 21.
EV - Proposition 33 - scolie
L’âme n’est sujette que pendant la durée du corps aux affections passives. Démonstration
Un acte d’imagination, c’est une idée par laquelle l’âme aperçoit un objet comme présent (voyez la Déf. de l’imagination dans le Scol. de la Propos. 17, part. 2) et qui cependant marque plutôt l’état présent du corps humain que (…)
Accueil > Hyper-Spinoza > Hyper-Ethique de Spinoza > Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine"
Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine"
Retrouvez maintenant l’HyperSpinoza ici :
HyperSpinoza
-
EV - Proposition 34
3 juillet 2004, par Spinoza, Baruch -
EV - Proposition 33
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Axiome 3.
EV - Proposition 31.
EV - Proposition 33
L’amour intellectuel de Dieu. qui naît de la connaissance du troisième genre, est éternel. Démonstration
La connaissance du troisième genre est éternelle (par la Propos. 31, et l’axiome 3, part. 1) ; et, en conséquence (par le même Axiome), l’amour qui naît de cette connaissance est nécessairement éternel. C. Q. F. D.
EV - Proposition 33 - scolie -
EV - Proposition 32 - corollaire
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définitions des affects - 06.
EV - Proposition 29 ; EV - Proposition 32.
EV - Proposition 32
Cette connaissance du troisième genre produit nécessairement l’amour intellectuel de Dieu ; car elle produit (par la Propos. précéd.) une joie accompagnée de l’idée de Dieu comme cause, c’est-à-dire (par la Déf. 6 des passions) l’amour de Dieu, non pas en tant que nous imaginons Dieu comme présent, mais (par la Propos. 29) en tant que nous le concevons comme éternel. Or cet amour est (…) -
EV - Proposition 32
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définitions des affects - 25.
EV - Proposition 27 ; EV - Proposition 30.
EV - Proposition 31 - scolie
Tout ce que nous connaissons d’une connaissance du troisième genre nous fait éprouver un sentiment de joie accompagné de l’idée de Dieu comme cause de notre joie. Démonstration
De cette espèce de connaissance naît pour l’âme la paix la plus parfaite, c’est-à-dire (par la Déf. 25 des passions) la plus parfaite joie qu’elle puisse ressentir, et cette joie de l’âme est (…) -
EV - Proposition 31 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEV - Proposition 31
Ainsi donc, à mesure que chacun de nous possède à un plus haut degré ce troisième genre de connaissance, il a de soi-même et de Dieu une conscience plus pure ; en d’autres termes, il est plus parfait et plus heureux, et c’est ce qui deviendra plus évident encore par la suite de ce traité. Mais il faut remarquer ici que, tout certains que nous soyons déjà que l’âme est éternelle, en tant qu’elle conçoit les choses sous le caractère de l’éternité, toutefois, pour (…) -
EV - Proposition 31
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 40 (et EII - Proposition 40 - scolie 2) ; EII - Proposition 46.
EIII - Définition 1.
EV - Proposition 21 ; EV - Proposition 23 ; EV - Proposition 29 ; EV - Proposition 30.
La connaissance du troisième genre dépend, de l’âme comme de sa cause formelle, en tant que l’âme elle-même est éternelle.
Démonstration
L’âme ne conçoit rien sous le caractère de l’éternité qu’en tant qu’elle conçoit l’essence de son corps sous le caractère de l’éternité (par la Propos. (…) -
EV - Proposition 30
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Définition 8.
EV - Proposition 29 - scolie
Notre âme, en tant qu’elle connaît son corps et soi-même sous le caractère de l’éternité, possède nécessairement la connaissance de Dieu, et sait qu’elle est en Dieu et est conçue par Dieu. Démonstration
L’éternité est l’essence même de Dieu, en tant que cette essence enveloppe l’existence nécessaire (par la Déf. 8, part. 1). Par conséquent, concevoir les choses sous le caractère de l’éternité, c’est concevoir les choses en tant (…) -
EV - Proposition 29 - scolie
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 45 ; EII - Proposition 45 - scolie.
EV - Proposition 29
Nous concevons les choses comme actuelles de deux manières : ou bien en tant que nous les concevons avec une relation à un temps ou un lieu déterminés, ou bien en tant que nous les concevons comme contenues en Dieu et résultant de la nécessité de la nature divine. Celles que nous concevons de cette seconde façon comme vraies ou comme réelles, nous les concevons sous le caractère de l’éternité, et leurs idées (…) -
EV - Proposition 29
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEI - Définition 8.
EII - Proposition 13 ; EII - Proposition 26 ; EII - Proposition 44 - corollaire 2.
EV - Proposition 21 ; EV - Proposition 23.
Tout ce que l’âme conçoit sous le caractère de l’éternité, elle le conçoit non pas parce qu’elle conçoit en même temps l’existence présente et actuelle du corps, mais bien parce qu’elle conçoit l’existence du corps sous le caractère de l’éternité.
Démonstration
L’âme, en tant qu’elle conçoit l’existence présente du corps, conçoit la (…) -
EV - Proposition 28
3 juillet 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 40 - scolie 2.
EIII - Définitions des affects - 01.
EV - Proposition 27
Le désir de connaître les choses d’une connaissance du troisième genre ou l’effort que nous faisons pour cela ne peuvent naître de la connaissance du premier genre, mais ils peuvent naître de celle du second. Démonstration
Cette proposition est évidente d’elle-même ; car tout ce que nous concevons clairement et distinctement, nous le concevons ou par soi ou par autre chose qui est conçu (…)