EII - Proposition 35 - scolie.
EIII - Proposition 49.
EIV - Proposition 11.
EV - Proposition 4 - scolie
De toutes les passions qu’un objet nous peut faire éprouver, la plus forte, toutes choses égales d’ailleurs, est celle que nous ressentons pour un objet que nous imaginons purement et simplement sans nous le représenter comme nécessaire, ou comme possible, ou comme contingent. Démonstration
Notre passion pour un être que nous nous représentons comme libre est plus forte que (…)
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Cinquième Partie : "De la puissance de l’entendement, ou de la liberté humaine"
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EV - Proposition 5
30 juin 2004, par Spinoza, Baruch -
EV - Proposition 4 - scolie
30 juin 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 36.
EII - Proposition 40.
EIII - Proposition 3 ; EIII - Proposition 31 - corollaire.
EIV - Proposition 37(dem. 2) et EIV - Proposition 37 - scolie 1 ; EIV - Proposition 59 ; EIV - Proposition 61.
EV - Proposition 2.
Puisqu’il n’y a rien d’où ne résulte quelque effets (par la Propos. 36, part. 1), et puisque tout ce qui résulte d’une idée qui est adéquate dans notre âme est toujours compris d’une façon claire et distincte (par la Propos. 40, part. 2), il (…) -
EV - Proposition 4 - corollaire
30 juin 2004, par Spinoza, BaruchEthique III - Définition générale des affects.
EV - Proposition 4.
EV - Proposition 4
Il suit de là qu’il n’y a aucune passion dont nous ne puissions nous former quelque concept clair et distincte. Car une passion, c’est (par la Déf. génér. des passions) l’idée d’une affection du corps, et toute affection du corps (par la Propos. précéd.) doit envelopper quelque concept clair et distinct.
EV - Proposition 4 - scolie -
EV - Proposition 4
30 juin 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 12 ; EII - Proposition 13 - (Lemme 2) ; EII - Proposition 38.
EV - Proposition 3 - corollaire
Il n’y a pas d’affection du corps dont nous ne puissions nous former quelque concept clair et distinct. Démonstration
Ce qui est commun à toutes choses ne se peut concevoir que d’une manière adéquate (par la Propos. 38, part. 2), et conséquemment (par la Propos. 12 et le Lemme 2, placé après le Scol. de la Propos. 13, part. 2), il n’y a aucune affection du corps dont (…) -
EV - Proposition 3 - corollaire
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEV - Proposition 3
Une affection, à mesure qu’elle nous est mieux connue, tombe de plus en plus sous notre puissance, et l’âme en pâtit de moins en moins.
EV - Proposition 4 -
EV - Proposition 3
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 21 (et EII - Proposition 21 - scolie).
EIII - Proposition 3 ; Ethique III - Définition générale des affects.
EV - Proposition 2
Une affection passive cesse d’être passive aussitôt que nous nous en formons une idée claire et distincte. Démonstration
Une affection passive, c’est une idée confuse (par la Déf. génér. des passions) ; si donc nous nous formons de cette affection même une idée claire et distincte, cette idée ne se distinguera de l’affection, en tant (…) -
EV - Proposition 2
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définitions des affects - 06 ; EIII - Définitions des affects - 07.
EV - Proposition 1
Si nous dégageons une émotion de l’âme, une passion, de la pensée d’une cause extérieure, en associant à cette passion des pensées d’une autre espèce, l’amour ou la haine dont cette cause extérieure était l’objet et tous les mouvements de l’âme qui en étaient la suite doivent disparaître aussitôt. Démonstration
Ce constitue en effet la forme ou l’essence de l’amour ou de la haine, c’est (…) -
EV - Proposition 1
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 6 - corollaire ; EII - Proposition 7 (et EII - Proposition 7 - corollaire) ; EII - Proposition 18.
EIII - Proposition 2.
EV - Axiome 2
Les affections corporelles ou images des choses s’ordonnent et s’enchaînent exactement dans le corps suivant l’ordre et l’enchaînement qu’ont dans l’âme les pensées et les idées des choses. Démonstration
L’ordre et l’enchaînement des idées sont identiques (par la Propos. 7, part. 2) à l’ordre et l’enchaînement des choses, et (…) -
EV - Axiome 2
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 7.
EV - Axiome 1
La puissance d’un effet se définit par la puissance de sa cause, en tant que l’essence de cet effet s’explique ou se définit par l’essence de sa cause.
Cet axiome est évident par la Propos. 7, part. 3.
EV - Proposition 1 -
EV - Axiome 1
29 juin 2004, par Spinoza, BaruchEV - Préface
Si deux actions contraires sont excitées dans un même sujet, il faudra nécessairement qu’un changement s’opère dans toutes deux ou dans l’une d’elles jusqu’à ce qu’elles cessent d’être contraires.
EV - Axiome 2