L’idée d’une affection quelconque du corps humain n’enveloppe point la connaissance adéquate du corps humain.

Démonstration

Toute idée d’une affection quelconque du corps humain enveloppe la nature du corps humain, en tant seulement que le corps humain est affecté d’une modification déterminée (voir la Propos. 16). Mais l’idée du corps humain, en tant qu’individu, lequel peut être affecté de plusieurs autres manières, etc. (voir la Dém. de la Propos. 25).