EI - Proposition 29 ; EI - Proposition 36.
EIII - Proposition 6.
EIII - Proposition 6
L’effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n’est rien de plus que l’essence actuelle de cette chose. Démonstration
L’essence d’un être quelconque étant donnée, il en résulte nécessairement certaines choses (par la Propos. 36, partie 1) ; et tout être ne peut rien de plus que ce qui suit nécessairement de sa nature déterminée (par la Propos. 29, partie 1). Par conséquent, (…)
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Troisième Partie : "De l’origine et de la nature des affects"
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EIII - Proposition 7
2 mai 2004, par Spinoza, Baruch -
EIII - Proposition 6
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 25 - corollaire ; EI - Proposition 34.
EIII - Proposition 4 ; EIII - Proposition 5.
EIII - Proposition 5
Toute chose, autant qu’il est en elle, s’efforce de persévérer dans son être. Démonstration
En effet, les choses particulières sont des modes qui expriment les attributs de Dieu d’une certaine façon déterminée (par le Corollaire de la Propos. 25, partie 1), c’est-à-dire (par la Propos. 34, partie 1) des choses qui expriment d’une certaine façon déterminée la (…) -
EIII - Proposition 5
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 4.
EIII - Proposition 4
Deux choses sont de nature contraire ou ne peuvent exister en un même sujet, quand l’une peut détruire l’autre. Démonstration
Car si ces deux choses pouvaient se convenir ou exister ensemble dans un même sujet, il pourrait donc y avoir en un sujet quelque chose qui fût capable de le détruire, ce qui est absurde (par la Propos. précéd.). Donc, etc. C. Q. F. D.
EIII - Proposition 6 -
EIII - Proposition 4
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 3 - scolie
Aucune chose ne peut être détruite que par une cause extérieure. Démonstration
Cette proposition est évidente par elle-même ; car la définition d’une chose quelconque contient l’affirmation et non la négation de l’essence de cette chose ; en d’autres termes, elle pose son essence, elle ne la détruit pas. Donc, tant que l’on considérera seulement la chose, abstraction faite de toute cause extérieure, on ne pourra rien trouver en elle qui soit capable de (…) -
EIII - Proposition 3 - scolie
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 3
Nous voyons par là que les passions ne se rapportent à l’âme qu’en tant qu’elle a en soi quelque chose qui enveloppe une négation, en d’autres termes, qu’en tant qu’elle est une partie de la nature, laquelle, prise en soi et indépendamment des autres parties, ne peut se concevoir clairement et distinctement ; et par cette raison, je pourrais montrer que les passions ont avec les choses particulières le même rapport qu’avec l’âme, et ne se peuvent concevoir (…) -
EIII - Proposition 3
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 11 ; EII - Proposition 13 ; EII - Proposition 15 ; EII - Proposition 29 - corollaire ; EII - Proposition 38 - corollaire.
EIII - Proposition 1.
010 - EIII - Proposition 2 - scolie
Les actions de l’âme ne proviennent que des idées adéquates, ses passions que des idées inadéquates. Démonstration
Ce qu’il y a de fondamental et de constitutif dans l’essence de l’âme, ce n’est autre chose que l’idée du corps pris comme existant en acte (par les Propos. 11 et 13, (…) -
010 - EIII - Proposition 2 - scolie
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 7 - scolie ; EII - Proposition 12 ; EII - Proposition 49.
Cela se conçoit plus clairement encore par ce qui a été dit dans le scolie de la Propos. 7, part. 2, savoir, que l’âme et le corps sont une seule et même chose, qui est conçue tantôt sous l’attribut de la pensée, tantôt sous celui de l’étendue. D’où il arrive que l’ordre, l’enchaînement des choses, est parfaitement un, soit que l’on considère la nature sous tel attribut ou sous tel autre, et partant, que (…) -
EIII - Proposition 2
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEII - Définition 1 ; EII - Proposition 6 ; EII - Proposition 11.
EIII - Proposition 1 - corollaire
Ni le corps ne peut déterminer l’âme à la pensée, ni l’âme le corps au mouvement et au repos, ou a quoi que ce puisse être. Démonstration
Tous les modes de la pensée ont pour cause Dieu, en tant que chose pensante, et non en tant qu’il se développe par un autre attribut (par la Propos. 6, partie 2) ; par conséquent, ce qui détermine l’âme a la pensée, c’est un mode de la pensée, et (…) -
EIII - Proposition 1 - corollaire
1er mai 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 1
Il suit de là que l’âme est sujette à d’autant plus de passions qu’elle a plus d’idées inadéquates ; et au contraire, qu’elle produit d’autant plus d’actions qu’elle a plus d’idées adéquates.
EIII - Proposition 2 -
EIII - Proposition 1
30 avril 2004, par Spinoza, BaruchEI - Proposition 36.
EII - Proposition 9 ; EII - Proposition 11 - corollaire ; EII - Proposition 40 - scolie 1 ; EII - Proposition 40 - scolie 2.
EIII - Définition 1 ; EIII - Définition 2.
Notre âme fait certaines actions et souffre certaines passions ; savoir : en tant qu’elle a des idées adéquates, elle fait certaines actions ; et en tant qu’elle a des idées inadéquates, elle souffre certaines passions.
Démonstration
Les idées d’une âme quelconque sont, les unes adéquates, (…)