L’effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n’est rien de plus que l’essence actuelle de cette chose.
L’essence d’un être quelconque étant donnée, il en résulte nécessairement certaines choses (par la Propos. 36, partie 1) ; et tout être ne peut rien de plus que ce qui suit nécessairement de sa nature déterminée (par la Propos. 29, partie 1). Par conséquent, la puissance d’une chose quelconque, ou l’effort par lequel elle agit ou tend à agir, seule ou avec d’autres choses, en d’autres termes (par la Propos. 6), la puissance d’une chose, ou l’effort par lequel elle tend à persévérer dans son être, n’est rien de plus que l’essence donnée ou actuelle de cette chose. C. Q. F. D.
EIII - Proposition 9 ; EIII - Proposition 10 ; EIII - Proposition 37 ; EIII - Proposition 54.
EIV - Définition 8 ; EIV - Proposition 4 ; EIV - Proposition 5 ; EIV - Proposition 8 ; EIV - Proposition 15 ; EIV - Proposition 18 (et EIV - Proposition 18 - scolie) ; EIV - Proposition 20 ; EIV - Proposition 21 ; EIV - Proposition 22 ; EIV - Proposition 25 ; EIV - Proposition 26 ; EIV - Proposition 32 ; EIV - Proposition 33 ; EIV - Proposition 53 ; EIV - Proposition 60 ; EIV - Proposition 64.
EV - Axiome 2 ; EV - Proposition 8 ; EV - Proposition 9 ; EV - Proposition 25.
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