Voyez, sur La condition ouvrière, de Simone Weil : .
La monotonie d’une journée de travail à l’usine, même si aucun changement de travail ne vient la rompre, est mélangée de mille petits incidents qui peuplent chaque journée et en font une histoire neuve ; mais, comme pour le changement de travail, ces incidents blessent plus souvent qu’ils ne réconfortent. Ils correspondent toujours à une diminution de salaire dans le cas du travail aux pièces, de sorte qu’on ne peut les souhaiter. Mais (…)
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Weil (Simone)
Hasard et monotonie du travail à l’usine