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Articles

24 mai 2004

La réduction du temps de travail

Quand la réduction du temps de travail devient un mythe selon lequel on peut maintenir l’emploi industriel tout en réduisant le temps de travail des ouvriers qui travaillent, i1 n’y a rien à ajouter : c’est un mythe. Les rythmes de (…)

24 mai 2004

Le salaire garanti

Il y a des conceptions réductrices du salaire garanti comme celles que nous avons connues en France, par exemple avec le Rmi, qui est une des formes de salarisation de la misère. Ce sont des formes de salarisation de l’exclusion, des nouvelles (…)

24 mai 2004

L’entrepreneur biopolitique

Ici encore, et comme toujours, on parle à l’intérieur d’une sphère dont tous les concepts doivent être renversés pour devenir des termes directs. Il faudrait vraiment réussir à inventer un langage différent, même lorsqu’on parle de démocratie ou (…)

24 mai 2004

Biopolitique productive

Quand on parle de biopolitique, on parle avant tout de la politique de reproduction des sociétés modernes, c’est-à-dire de l’attention que l’État moderne porte à la reproduction des ensembles démographiques actifs. La biopolitique est donc cette (…)

24 mai 2004

La multitude

Il faudrait commencer par une petite précision historique. Le terme de multitude était un terme péjoratif, négatif, qui était utilisé par la science politique classique. La multitude, c’était l’ensemble des personnes qui vivaient dans un monde (…)

24 mai 2004

Le devenir-femme du travail

Autour de ce concept de « devenir-femme du travail » se joue l’un des aspects les plus centraux de la révolution que l’on est en train de vivre. En réalité, il n’est plus possible d’imaginer la production des richesses et des savoirs si ce n’est (…)

24 mai 2004

Le cerveau-machine

Il est clair que lorsqu’on commence à dire que la machine-outil a été arrachée au capital par l’ouvrier, pour qu’elle le suive toute sa vie, que l’ouvrier a incarné cette puissance de production à l’intérieur de son propre cerveau, ou quand on (…)

24 mai 2004

Le travail

Du travail il y en a trop, parce que tout le monde travaille, et que tout le monde contribue à la construction de la richesse sociale. Cette richesse naît de la communication, de la circulation, et de la capacité à coordonner les efforts de (…)