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Deuxième Partie : "De la Nature et de l’Origine de l’Âme"
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EI - Proposition 16.
Je passe maintenant à l’explication de cet ordre de choses qui ont dû résulter nécessairement de l’essence de Dieu, l’être éternel et infini. Il n’est pas question de les expliquer toutes ; car il a été démontré (dans la Propos. 16 de la première partie), qu’il doit y en avoir une infinité, modifiées elles-mêmes à l’infini, mais celles-là seulement qui peuvent nous mener, comme par la main à la connaissance de l’âme humaine et de son souverain bonheur.
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EII - Proposition 13 - (Axiome 2)
15 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EII - Proposition 13 - (Axiome 1)
Tout corps se meut, tantôt plus lentement, tantôt plus vite.
EII - Proposition 13 - (Lemme 1)
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EII - Proposition 13 - (Axiome 1)
15 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EII - Proposition 13 - scolie
Tous les corps sont ou en mouvement ou en repos.
EII - Proposition 13 - (Axiome 2)
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EII - Proposition 13 - scolie
15 avril 2004, par Spinoza, Baruch
Ce qui précède fait comprendre, non seulement que l’âme humaine est unie au corps, mais aussi en quoi consiste cette union. Toutefois, on ne s’en formera une idée adéquate et distincte qu’à condition de connaître premièrement la nature de notre corps, tout ce qui a été exposé jusqu’à ce moment étant d’une application générale et ne se rapportant pas plus à l’homme qu’aux autres individus de la nature ; car tous à des degrés divers sont animés. De toutes choses, en effet, il y a (…)
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EII - Proposition 13 - corollaire
15 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EII - Proposition 13
Il suit de là que l’homme est compose d’une âme et d’un corps, et que le corps humain existe tel que nous le sentons.
EII - Proposition 13 - scolie
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EII - Proposition 13
15 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EI - Proposition 36.
EII - Axiome 4 ; EII - Axiome 5 ; EII - Proposition 9 - corollaire ; EII - Proposition 11 (et EII - Proposition 11 - corollaire) ; EII - Proposition 12.
L’objet de l’idée qui constitue l’âme humaine, c’est le corps, en d’autres termes, un certain mode de l’étendue, lequel existe en acte et rien de plus.
Démonstration
Si, en effet, le corps n’était pas l’objet de l’âme, les idées des affections du corps ne se trouveraient pas en Dieu, en tant qu’il constitue (…)
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EII - Axiome 2
12 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EII - Axiome 1
L’homme pense.
EII - Axiome 3
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EII - Proposition 10 - scolie
12 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EI - Proposition 5.
EII - Proposition 10
Cette proposition se démontre aussi à l’aide de la Prop. 5, partie 1, savoir qu’il ne peut exister deux substances de même nature ; car comme plusieurs hommes peuvent exister, ce n’est donc point l’être de la substance qui constitue la forme ou l’essence de l’homme. Notre proposition résulte en outre évidemment des autres propriétés de la substance, je veux dire que la substance est de sa nature infinie, immuable, indivisible, etc., et tout (…)
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EII - Proposition 12 - scolie
12 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EII - Proposition 7 - scolie
EII - Proposition 12
Cette proposition devient également évidente et se comprend même plus clairement par le Scolie de la Propos. 7.
EII - Proposition 13
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EII - Proposition 12
12 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EII - Proposition 9 - corollaire ; EII - Proposition 11 (et EII - Proposition 11 - corollaire).
EII - Proposition 11 - scolie
Tout ce qui arrive dans l’objet de l’idée qui constitue l’âme humaine doit être perçu par elle ; en d’autres termes, l’âme humaine en aura nécessairement connaissance. Par où j’entends que si l’objet de l’idée qui constitue l’âme humaine est un corps, il ne pourra rien arriver dans ce corps que l’âme ne le perçoive. Démonstration
En effet, tout ce qui (…)
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EII - Proposition 11 - scolie
12 avril 2004, par Spinoza, Baruch
EII - Proposition 11 - corollaire
Ici les lecteurs vont, sans aucun doute, être arrêtés, et il leur viendra en la mémoire mille choses qui les empêcheront d’avancer ; c’est pourquoi je les prie de poursuivre lentement avec moi leur chemin, et de suspendre leur jugement jusqu’à ce qu’ils aient tout lu.
EII - Proposition 12