EIII - Proposition 28 ; EIII - Proposition 29 - scolie ; EIII - Proposition 39 ; EIII - Proposition 40 - corollaire 2.
EIV - Proposition 4 - corollaire ; EIV - Proposition 6 ; EIV - Proposition 7 ; EIV - Proposition 17 - scolie ; EIV - Proposition19 ; EIV - Proposition 20 ; EIV - Proposition 33 ; EIV - Proposition 34 ; EIV - Proposition 35 - corollaire 1 ; EIV - Proposition 35 - scolie.
J’ai promis, dans l’appendice de la première partie, d’expliquer en quoi consistent la louange et (…)
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Quatrième Partie : "De la servitude humaine, ou de la force des affects"
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EIV - Proposition 37 - scolie 2
16 juin 2004, par Spinoza, Baruch -
EIV - Proposition 37 - scolie 1
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 57 - scolie.
EIV - Proposition 18 - scolie.
Celui qui fait effort, uniquement par passion, pour que les autres aiment ce qu’il aime et pour qu’ils vivent à son gré, celui-là, n’agissant de la sorte que sous l’empire d’une aveugle impulsion, devient odieux à tout le monde, surtout à ceux qui ont d’autres goûts que les siens et s’efforcent en conséquence à leur tour de les faire partager aux autres. De plus, comme le bien suprême que la passion fait désirer aux (…) -
EIV - Proposition 37
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchDémonstration : EI - Proposition 15.
EII - Proposition 11 ; EII - Proposition 47.
EIII - Définitions des affects - 01.
EIV - Proposition19 ; EIV - Proposition 24 ; EIV - Proposition 26 ; EIV - Proposition 35 - corollaire 1.
Autre démonstration : EIII - Proposition 31 (et EIII - Proposition 31 - corollaire) ; EIII - Proposition 37.
EIV - Proposition 36.
Le bien que désire pour lui-même tout homme qui pratique la vertu, il le désirera également pour les autres hommes, et avec (…) -
EIV - Proposition 36 - scolie
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 47.
EIV - Proposition 34 ; EIV - Proposition 35.
EIV - Proposition 36
On m’adressera peut-être cette question : Si le souverain bien de ceux qui suivent la vertu n’était pas commun à tous, ne s’ensuivrait-il pas, comme plus haut (par la Propos. 34), que les hommes, en tant qu’ils vivent suivant la raison, c’est-à-dire (par la Propos. 35), en tant qu’ils sont en conformité parfaite de nature, sont contraires les uns aux autres ? Je réponds à cela que ce n’est (…) -
EIV - Proposition 36
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 47 (et EII - Proporition 47 - scolie).
EIV - Proposition 24 ; EIV - Proposition 26 ; EIV - Proposition 28.
EIV - Proposition 35 - scolie
Le bien suprême de ceux qui pratiquent la vertu leur est commun à tous, et ainsi tous en peuvent également jouir. Démonstration
Agir par vertu, c’est agir sous la conduite de la raison (par la Propos. 24), et tout l’effort des actions que la raison dirige ne va qu’à un seul objet qui est de comprendre (par la Propos. 26), et (…) -
EIV - Proposition 35 - scolie
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchCe que nous venons de montrer, l’expérience le confirme par des témoignages si nombreux et si décisifs que c’est une parole répétée de tout le monde : L’homme est pour l’homme un Dieu. Il est rare pourtant que les hommes dirigent leur vie d’après la raison, et la plupart s’envient les uns les autres et se font du mal. Cependant, ils peuvent à peine supporter la vie solitaire, et cette définition de l’homme leur plaît fort : L’homme est un animal sociable. La vérité est que la société a (…)
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EIV - Proposition 35 - corollaire 2
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 3.
EIV - Définition 8 ; EIV - Proposition 20 ; EIV - Proposition 35 (et EIV - Proposition 35 - corollaire 1).
EIV - Proposition 35 - corollaire 1
Plus chaque homme cherche ce qui lui est utile, plus les hommes sont réciproquement utiles les uns aux autres. Plus, en effet, chaque homme cherche ce qui lui est utile et s’efforce de se conserver, plus il a de vertu (par la Propos. 20), ou, ce qui est la même chose (par la Déf. 8), plus il a de puissance pour agir (…) -
EIV - Proposition 35 - corollaire 1
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Définition 2.
EIV - Proposition 31 - corollaire ; EIV - Proposition 35.
EIV - Proposition 35
Rien dans la nature des choses n’est plus utile à l’homme que l’homme lui-même, quand il vit selon la raison. Car ce qu’il y a de plus utile pour l’homme, c’est ce qui s’accorde le mieux avec sa nature (par le Coroll. de la Propos. 31), c’est à savoir, l’homme (cela est évident de soi). Or, l’homme agit absolument selon les lois de sa nature quand il vit suivant la raison (par la (…) -
EIV - Proposition 25
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEIII - Proposition 6 ; EIII - Proposition 7.
EIV - Proposition 22 - corollaire.
EIV - Proposition 24
Personne ne s’efforce de conserver son être à cause d’une autre chose que soi-même. Démonstration
L’effort par lequel chaque chose tend à persévérer dans son être est déterminé par la seule essence de cette même chose (en vertu de la Propos. 7, part. 3), et résulte nécessairement de cette seule essence une fois donnée, et non de l’essence d’une autre chose (par la Propos. 6, (…) -
EIV - Proposition 35
16 juin 2004, par Spinoza, BaruchEII - Proposition 41.
EIII - Définition 2 ; EIII - Proposition 3.
EIV - Proposition19 ; EIV - Proposition 31 - corollaire ; EIV - Proposition 33 ; EIV - Proposition 34.
Les hommes ne sont constamment et nécessairement en conformité de nature qu’en tant qu’ils vivent selon les conseils de la raison.
Démonstration
Les hommes, en tant qu’ils sont livrés au conflit des affections passives, peuvent être de nature différente (par la Propos. 33) et même contraire (par la Propos. (…)