« S’oppose au molaire, éminent et trop grossier, laissant échapper tout le détail du réel. Le moléculaire est virtuel, et non moins réel, en tant qu’il en est la source. La révolution deleuzienne en philosophie repose sur la molécularisation de tous les sujets et de tous les objets, devenus émission et brouillard de singularités. » (Robert Sasso et Arnaud Villani, Le vocabulaire de Gilles Deleuze, Les Cahiers de Noesis n° 3, Printemps 2003, pp. 354-355.)