« L’artiste ou le philosophe ont souvent une petite santé fragile, un
organisme faible, un équilibre mal assuré [.] . Mais ce n’est pas la mort
qui les brise, c’est plutôt l’excès de vie qu’ils ont vu, éprouvé, pensé.
(Gilles Deleuze, Pourparlers 1972-1990, Ed. de Minuit, 1990, pp. 195-196.)