• « Ton secret, on le voit toujours sur ton visage et dans ton oeil. Perds le
    visage » (Gilles Deleuze, Dialogues avec Claire Parnet, Ed. Flammarion,
    1977, p. 59.)
  • « Comment défaire le visage, en libérant en nous les têtes chercheuses qui
    tracent des lignes de devenir ? Comment passer le mur, en évitant de
    rebondir sur lui, en arrière, ou d’être écrasés ? Comment sortir du trou
    noir, au lieu de tournoyer au fond, quelles particules faire sortir du trou
    noir ? Comment briser même notre amour pour devenir enfin capable d’aimer ?
    Comment devenir imperceptible ? » (Gilles Deleuze, Cinéma 1. L’
    image-mouvement
    , Ed. Minuit, 1983, p. 127.)