[Ces zones d’indiscernabilité vont s’affirmer comme indissolublement liées à l’activité de l’art :] « Seule la vie crée de telles zones où tourbillonnent les vivants, et seul l’art peut y atteindre et y pénétrer dans son entreprise de co-création. C’est que l’art vit lui-même de ces zones d’indétermination (…). » (Gilles Deleuze et Félix Guattari, Qu’est-ce que la philosophie ?, Ed. Minuit, 1991, p. 164.)
« Zone d’indiscernabilité : Zone de recouvrement de deux ensembles en intersection, soulignant des contiguïtés insoupçonnées, annonçant des devenirs paradoxaux, elle marque un lieu de transformation, de création, d’émergence. » (Noëlle Batt, « Zone d’indiscernabilité », in Le vocabulaire de Gilles Deleuze (sous la dir. Robert Sasso et Arnaud Villani), Les Cahiers de Noesis n° 3, Printemps 2003, p. 343.)
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