Puisque les parties de la matière sont réellement distinctes les unes des autres (par l’Article 61, partie I des Principes), l’une peut être sans l’autre (par le Corollaire de la Proposition 7, partie I) et elles ne dépendent pas les unes des autres. C’est pourquoi toutes les fictions sur la Sympathie et l’Antipathie doivent être rejetées comme fausses. En outre, comme la cause d’un certain effet doit toujours être positive, on ne devra jamais dire qu’un corps est mû pour qu’il n’y ait pas de vide, mais seulement, qu’il est mû par l’impulsion qu’il reçoit d’un autre.
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Dernière mise à jour : mardi 8 septembre 2020