NOTE I (au chap. I)
La troisième lettre du radical des mots, quand elle est de celles qu’on nomme lettres de pause, est habituellement supprimée et à sa place la deuxième est redoublée ; c’est ainsi que galah, par la suppression de he, lettre de pause, donne golel [et nibâ donne novev d’où schofetim niv, parole ou discours].
R. Salomon Jarchi a donc très bien interprété le mot neba ; mais il est repris à tort par Aben Ezra qui n’avait pas une si exacte connaissance de la langue hébraïque. Il faut (...)
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Dernière mise à jour : mardi 8 septembre 2020