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  • TRE - 110 - Octobre 2005

    Les idées fausses et forgées n’ont rien de positif (comme je l’ai suffisamment montré) par quoi elles méritent la dénomination de fausses et de forgées ; mais c’est seulement un manque de connaissance qui les rend telles qu’on les considère. Donc les idées fausses et forgées ne peuvent, comme telles, rien nous apprendre de l’essence de la pensée ; cette connaissance doit être acquise des propriétés positives ci-dessus passées en revue ; c’est-à-dire qu’on doit maintenant établir quelque chose de commun d’où (...)