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  • TRE - 58 - Septembre 2005

    Passons maintenant aux fictions ayant trait aux essences seules ou jointes à quelque actualité ou existence. Il faut à ce sujet considérer surtout que, moins l’esprit connaît et plus il perçoit, plus il est capable de fiction ; et plus il a de connaissances claires, plus ce pouvoir diminue. De même que, par exemple, comme nous l’avons vu plus haut, nous ne pouvons, aussi longtemps que nous pensons, forger l’idée que nous pensons et que nous ne pensons pas, de même, quand nous connaissons la nature du (...)