EIV - Définition 3
J’appelle les choses particulières contingentes, en tant que nous ne trouvons rien en elles, à ne considérer que leur essence, qui pose nécessairement leur existence ou qui nécessairement l’exclue.
J’appelle les choses particulières contingentes, en tant que nous ne trouvons rien en elles, à ne considérer que leur essence, qui pose nécessairement leur existence ou qui nécessairement l’exclue.
EI - Proposition 16.
EII - Définition 6.
Ce que j’appelle esclavage, c’est l’impuissance de l’homme à gouverner et à contenir ses passions. L’homme en effet, quand il est soumis à ses passions, ne se possède plus ; livré à la fortune, il (…)
EIV - Préface (voyez la remarque suivant la définition 2).
EIV - Préface
J’entendrai par bien ce que nous savons certainement nous être utile.
EIV - Définition 2
EIV - Préface.
EIV - Définition 1
Par mal, j’entendrai ce que nous savons certainement faire obstacle à ce que nous possédions un certain bien.
Sur ces deux points, voyez la fin de la préface qui précède.
EIV - Définition 3
EI - Proposition 33 - scolie 1.
EIV - Définition 3
Ces mêmes choses particulières, je les appelle possibles, en tant que nous ignorons, à ne regarder que les causes qui les doivent produire, si ces causes sont déterminées à les (…)
EIV - Définition 4
J’entendrai, dans ce qui va suivre, par passions contraires, celles qui poussent l’homme en divers sens, quoiqu’elles soient du même genre ; par exemple, la prodigalité et l’avarice, qui sont deux espèces d’amour, et ne (…)
EIII - Proposition 18 - scolie 1 et EIII - Proposition 18 - scolie 2.
J’ai expliqué, dans les Scolies 1 et 2 de la Propos. 18, part. 3, auxquels je renvoie, ce que j’entendrais par une passion pour une chose future, présente ou passée. (…)
EIV - Définition 6
La fin pour laquelle nous faisons une action, c’est pour moi l’appétit.
EIV - Définition 8
EIII - Proposition 7.
EIV - Définition 7
Vertu et puissance, à mes yeux, c’est tout un ; en d’autres termes (par la Propos. 7, part. 3), la vertu, c’est l’essence même ou la nature de l’homme, en tant qu’il a la puissance de faire (…)
EIV - Définition 8
Il n’existe dans la nature aucune chose particulière qui n’ait au-dessus d’elle une autre chose plus puissante et plus forte. De sorte que, une chose particulière étant donnée, une autre plus puissante est également (…)
EII - Proposition 32 ; EII - Proposition 33 ; EII - Proposition 35.
EIII - Proposition 4.
Rien de ce qu’une idée fausse contient de positif n’est détruit par la présence du vrai, en tant que vrai.
Démonstration
L’erreur consiste dans (…)