Accueil > Hyper-Spinoza > Hyper-Ethique de Spinoza > Quatrième Partie : "De la servitude humaine, ou de la force des affects" > EIV - Proposition 64 - corollaire
EIV - Proposition 64 - corollaire

Il suit de là que si l’âme humaine n’avait que des idées adéquates, elle ne se formerait aucune notion du mal.